WE HUNT THE FLAME (SANDS OF ARAWIYA #1) ♦ HAFSAH FAIZAL (VO)

Sands of Arawiya #1 : We Hunt the Flame (VO)

de Hafsah Faizal

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Genres : Fantasy, Young Adult

Mon édition (VO) : Farrar, Straus and Giroux

472 pages

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Résumé (VO) : «People lived because she killed.

People died because he lived.

Zafira is the Hunter, disguising herself as a man when she braves the cursed forest of the Arz to feed her people. Nasir is the Prince of Death, assassinating those foolish enough to defy his autocratic father, the king. If Zafira was exposed as a girl, all of her achievements would be rejected; if Nasir displayed his compassion, his father would punish him in the most brutal of ways. 

Both are legends in the kingdom of Arawiya—but neither wants to be.

War is brewing, and the Arz sweeps closer with each passing day, engulfing the land in shadow. When Zafira embarks on a quest to uncover a lost artifact that can restore magic to her suffering world and stop the Arz, Nasir is sent by the king on a similar mission: retrieve the artifact and kill the Hunter. But an ancient evil stirs as their journey unfolds—and the prize they seek may pose a threat greater than either can imagine.

Set in a richly detailed world inspired by ancient Arabia, We Hunt the Flame is a gripping debut of discovery, conquering fear, and taking identity into your own hands.»

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Mon avis :

Si vous êtes habitué à la blogosphère anglophone, ce livre vous dit probablement quelque chose. On l’a beaucoup vu passer, et je dois dire que de mon point de vue, la hype est amplement méritée ! 

“We hunt the flame, the light in the darkness, the good this world deserves.” 

We Hunt the Flame, c’est l’histoire de Zafira, une jeune fille, qui pour aider son village, se fait appeler the Hunter, le Chasseur. Dans ce monde, une femme ne peut pas être autre chose qu’une femme au foyer, et c’est pour cette raison qu’elle se fait passer pour un homme. C’est à sa connaissance la seule personne capable d’aller dans la forêt nommée Arz, et en revenir saine d’esprit. C’est également la seule source de nourriture de la région, ce qui fait d’elle la personne la plus importante de son village. 

Nasir quant à lui est le prince héritier du trône d’Arawiya, fils aîné du Sultan Ghameq, et surtout son assassin. Il est surnommé le Prince de la Mort, et tous connaissent son histoire dans le royaume. Moitié humain, moitié Safin, il est la personne la plus redoutée du pays. 

“Be as victorious as the name I have given you, and bring the desert to its knees.”

Leurs chemins vont se croiser lors d’une quête. Zafira doit retrouver un livre perdu, censé ramener la magie dans ce monde, tandis que Nasir doit lui aussi retrouver ce livre, mais avec comme ordre de le ramener à son père, après avoir tué le Chasseur. 

“A monster. For a monster will always be enslaved to a master.”

Dans ce livre, on découvre bien évidemment nos deux personnages principaux, qui se partagent le récit, mais également trois autres personnages : Altair, le général des armées du Sultan, Khifa, une guerrière d’un pays frontalier, et Benyamin, un prince Safi. Je pense que comme beaucoup, Altair est un de mes coups de cœur ! Sa relation “je t’aime moi non plus” avec Nasir donne une autre dimension au récit, que j’ai adoré. Such a good bromance !

“I'll have to introduce you by saying, 'He's not always this grumpy. Then again, he's one of those people who talks less and murders more'.”

L’histoire m’a totalement emportée. J’ai aimé l'enchaînement des points de vue, le fait que les chapitres n’étaient pas trop long pour pouvoir faire des poses de temps en temps (et surtout ne pas s’arrêter en plein milieu, ce que je déteste…), et l’inclusion de mots que je suppose être arabes, si je ne dis pas de bêtises. L’immersion était totale, et pour une fois, je ne me suis pas dit “oh, mais qu’il est bête ce personnage, c’est sur que c’est une mauvaise décision !”. J’ai vraiment été surprise par les plot twist, et pour être franche, je n’ai rien vu venir dans ce livre. Et mon cœur en a souffert, croyez moi !

En conclusion : Coup de coeur total pour ce premier tome, qui me laisse sur les rotules, le cœur brisé (l’épilogue mon dieu), et en besoin intense de la suite ! Mention spéciale à la personne qui raconte les points de vue de Nasir dans l'audiobook Audible, Steve West, qui a donné à Altair encore plus de cachet !

Ma note : ★★★★★

Prochaine lecture : The Tiger at Midnight 1 (VO), Warcross 2